Dimanche dernier, alors que nous attendions fébrilement des nouvelles de notre agent immobilier et errions, désœuvrés, dans les rues de la ville, nous avons décidé de faire un tour du côté de l'Ashram, au temple de Ganesh de Pondichéry.
Assis sur un bout de trottoir, un samossa pimenté à la main, nous tendîmes l'oreille à des tintinnabulements lointains. Tandis que la rumeur enfle, les badauds affluent et les belles indiennes en sari se pressent sous le porche du temple. Serait-ce Ganesh en personne qui arrive en ce jour de Pâques, bénir ses fidèles ?
Non, pas tout à fait ! C'est Lakshmi, l'éléphante du temple, qui se fait la murti (le vaisseau, l'incarnation), du dieu éléphant sur Terre.
Lakshmi, elle, s'en contrecarre de Pâques ou pas Pâques, puisqu'elle est là, fidèle au poste sept jours par semaine de 5h45 à 12h30 et de 16h à 21h30 pour tapoter de sa trompe bénie le crâne du dévot en échange d'une pièce, d'un fruit ou d'une friandise.
Dans un prochain épisode, vous saurez si nous avons finalement eu le courage d'approcher le pachyderme pour nous faire, à notre tour, marquer du dieu le plus classe du panthéon indien.
Assis sur un bout de trottoir, un samossa pimenté à la main, nous tendîmes l'oreille à des tintinnabulements lointains. Tandis que la rumeur enfle, les badauds affluent et les belles indiennes en sari se pressent sous le porche du temple. Serait-ce Ganesh en personne qui arrive en ce jour de Pâques, bénir ses fidèles ?
Non, pas tout à fait ! C'est Lakshmi, l'éléphante du temple, qui se fait la murti (le vaisseau, l'incarnation), du dieu éléphant sur Terre.
Lakshmi, elle, s'en contrecarre de Pâques ou pas Pâques, puisqu'elle est là, fidèle au poste sept jours par semaine de 5h45 à 12h30 et de 16h à 21h30 pour tapoter de sa trompe bénie le crâne du dévot en échange d'une pièce, d'un fruit ou d'une friandise.
Dans un prochain épisode, vous saurez si nous avons finalement eu le courage d'approcher le pachyderme pour nous faire, à notre tour, marquer du dieu le plus classe du panthéon indien.
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